Molluscum Contagiosum
Il y a trois ans, mon conjoint et moi avons découvert sur l’avant-bras droit de notre fille âgée à ce moment-là de 5 mois, un bouton couronné d’un nombril blanchâtre.
Après avoir fait examiner notre fille par son pédiatre, ce dernier nous avait assuré que c’était une verrue. Il nous a dit de ne pas nous inquiéter et que la verrue allait disparaître comme elle est venue.
Malheureusement, au bout d’un an et demi, nous avons remarqué que notre fille avait des rougeurs à l’arrière du genou droit, elle se grattait fréquemment, parfois même jusqu’au sang.
Une deuxième visite chez le médecin s’imposait, il lui a simplement prescrit une crème à base de cortisone. (Cortate) Dès les premières applications, ma fille semblait soulagée, par contre sa peau se décolorait au fur à mesure que nous lui en appliquions. Une fois de plus, son pédiatre nous confirme que cette réaction est tout simplement normale.
À peine quelques mois après l’apparition des ces rougeurs, deux boutons à distance égale, (soit à l’arrière du mollet et à la base de la cuisse) ont fait surface. Les deux boutons rosâtres à tête blanche nous rappelaient celui de son bras, d’ailleurs ce dernier après deux ans et demi, n’avait pas encore disparu.
Dans les semaines qui ont suivi, un autre bouton de même type, fît éruption sous la paupière inférieure de son œil droit. Cette fois-ci s’en était trop, nous avons donc consulté un dermatologue qui a diagnostiqué un Moluscum Contagiosum. Selon lui, ces pustules sont le résultat d’un virus que ma fille aurait contracté à l’âge de 5 mois. Cette infection est hautement contagieuse. Il nous a déconseillé l’utilisation de crème à base de cortisone, car cela ne fait qu’accentuer la progression du virus, on nous annonce qu’aucun médicament par voie orale n’existe pour ce genre de maladie. Il nous a convaincu de procéder à l’ablation de chaque bouton un à la fois.
Vous pouvez vous imaginez une petite fille de trois ans se faire brûler la peau de force. Après avoir pleuré toutes les larmes de son corps, le produit utilisé sous son oeil s’était répandu sur sa joue, souffrante, elle était brûlée un peu partout. De plus, une fois que le produit qui avait posé sur les boutons avait fait « entièrement » son effet, je devais par la suite crever chaque verrue avec mes ongles et retirer la racine d’environs 3 mm à l’intérieur. Ma fille ne voulait plus qu’on la regarde, ni même la toucher, elle était terrorisée à l’idée de se faire arracher d’autres verrues.
Deux semaines après l’intervention, nous constations qu’en plus de lui laisser des cicatrices, les boutons étaient toujours présents. Découragés, nous cherchions un moyen d’enrayer ce fléau, sans avoir recours à de barbare sévices.
C’est à ce moment que Monsieur Pierre Marie entre en scène. Nous étions désespérés et quelque peu septique. Monsieur Marie nous a fait part de sa façon de voir les choses.
C’est à travers la discussion, l’observation, et le questionnement au sujet de notre fille que Monsieur Marie a répertorié une foule d’informations, tant au niveau personnel, psychologique, alimentaire, comportemental, etc… Il nous a fait comprendre l’importance de rétablir l’équilibre intrinsèque de notre fille, afin qu’elle puisse se débarrasser de ses boutons.
Par le fait même, nous nous sommes rendus compte que notre fille au fils des dernier mois avait changé de comportement. Elle devenait de plus en plus irritable, agressive, surexcitée, impatiente et très criarde. Que se soit de joie ou de peine, elle criait tout le temps, et ne voulait jamais dormir.
Un traitement homéopathique lui a été prescrit. 24 heures s’était écoulées et nous remarquions déjà un changement majeur :
Physiologiquement, notre fille présentait des rougeurs au visage et plusieurs éruptions de petits boutons rose. Au bout de quelques jours, l’éruption disparaissait pour laisser place à un assèchement du derme assez important. Particulièrement sous l’oeil et à l’arrière du genou.
Psychologiquement, le changement était pratiquement incroyable. Nous avons pu réintroduire la sieste dans l’après-midi. Car depuis des semaines, notre enfant ne voulait plus se coucher. Le rituel du dodo le soir s’est écourté de moitié. Il n’y avait plus d’argumentation, ni de négociation lors du coucher.
Notre fille ne criait plus comme elle le faisait auparavant. Elle s’amusait plus calmement, et s’insurgeait beaucoup moins.
Cela fait maintenant trois semaines que le traitement est terminé, et nous observons toujours les changements constatés lors de la première semaine.
À l’exception de quelques crises d’impatience, et une prolongation du rituel du dodo, tout semble beaucoup plus calme. A ce moment-ci les boutons de moluscum ont pratiquement tous disparu. On observe un assèchement quasi-total des verrues. L’effet produit n’exorcise en rien sa personnalité, elle est toujours la même, et conserve son caractère, mais semble être plus en harmonie avec elle-même.
Mélanie Côté
J’ai consuté Pierre Marie en urgence pour mon fils alors âgé de 14 mois, qui etait pris avec une toux depuis plusieurs semaines. Et là, cela avait dégénéré : tous grasse, tombée sur les bronches et forte fièvre. Lors de la consulation Pierre a remarqué les mulluscum contagiosum présents en nombre sur la poitrine de mon fils, ainsi que sur les flancs supérieurs, le haut des bras et les aisselles. Je me sentais alors découragée car cela faisait des mois que cela durait. J’avais consulté un médecin qui pratique aussi l’homéopathie, 2 mois plus tôt et aucun des remedes (4 au total) n’avait donné de résultat. Et aller voir un dermatologue pour les faire arracher était pour moi difficilement concevable.
Je me trouvais désemparée. Cela commençait aussi à affecter la vie de mon fils sur d’autres plans: nous avions arrêté les bébés nageurs, qu’il pratiquait depuis l’âge de 7 mois, et je faisais attention à lui mettre des vêtements qui conouvraient toujours bien son cou et ses bras à la garderie pour éviter les problèmes.
Pierre nous a posé plusieurs questions et il a donné un remède homéopathique à Noé. 3 jours plus tard, la fièvre et la toux avaient disparu. Les bronches étaient dégagées. Nous avons également constaté une diminution significative des molluscum. Les deux manifestations avaient la même racine ! Et Pierre l’a bien saisi. Lors d’une consultation de suivi, Pierre a redonné le remède, à des dilutions différentes et en quelques semaines, la totalité des boutons étaient partis. Cela fait maintenant plus d’un mois et demi et nous n’avons plus eu une seule éruption. C’est une grande liberation pour mon fils et moi. Joie, insouciance et piscine sont au RdV !
Je suis même thérapeute ett j’ai consulté quelque homéopathe dans les douze dernières années. Je consulte Pierre aussi pour moi. Et je peux affirmer qu’il est un homéopathe hors du commun de par son engagement et de par sa sensibilité particulière qui lui permet de cerner avec justesse LE remède. Merci Pierre, de tout cœur.
Sergine Martinez