Différentes approches, différents regards, différentes études biologiques établissent un lien entre autisme et vaccination. Ainsi, tel médecin montre que l’autisme a commencé son développement quantitatif avec les vaccinations, tel biologiste découvre la présence de bactéries de la rougeole dans l’intestin des enfants autistes, tel autre biologiste fait le lien entre le mercure des vaccins et l’autisme.
Des groupes religieux aux États-Unis et vivants en marge de la société et refusants les vaccinations connaissent un pourcentage très inférieur d’enfants autistes, etc…
Ainsi …de plus en plus de parents, avec des compréhensions différentes, ont conscience du danger pour leurs enfants.
Je vous présente dans cet article un tout autre regard que ces regards matériels (lesquels ont certainement leur importance) : Que se passe-t-il dans l’être-enfant lors de la vaccination ?
La véritable confrontation entre l’enfant et les vaccins se passe sur 2 plans, l’un est celui de la rencontre entre plusieurs maladies simultanées et un système immunitaire immature; l’autre est dans la perception de l’effroi qui entoure cet acte.
Examinons la première question : un vaccin est l’inoculation d’une maladie. Elle se fait par une voie directe dans le sang. Dans l’état actuel des choses, il s’agit de l’inoculation simultanée de 6 maladies.
- Cela existe-t-il dans la nature de rencontre plusieurs maladies à la fois chez un tout jeune enfant ?
Si l’on regarde les choses avec bon sens, un enfant peut avoir une maladie, dans la plupart des cas, il va guérir; dans des cas très rares, au cours d’une maladie, après quelques temps, l’enfant peut vivre une « complication », une surinfection, le médecin pourra diagnostiquer cela, ce ne sera que très très rarement une 2ième maladie. Bref, attraper 2 maladies au même moment est une situation, soit qui n’est pas possible, soit qui est totalement rarissime (au cas où cette réalité puisse exister).
La vaccination inocule aujourd’hui 6 maladies en une fraction de seconde !
Personne ne me contredira, un être humain ne peut contacter six maladies dans la même seconde et qui plus est directement dans le sang !
- Une maladie va survenir par l’absorption d’un liquide, ou bien par la respiration. Le système immunitaire possède des défenses dans les muqueuses du nez, de la gorge, puis dans l’estomac, l’intestin. Donc, dans la vie de la nature, une bactérie, un virus n’arrive jamais directement dans le sang, elle va devoir faire face aux réactions des défenses immunitaires du corps.
- La formation de tout le corps physique et en particulier de l’immunité se fait pendant 19 ans. Elle est vraiment mature à 20 ans environ. Pour Henri Joyeux, l’immunité constitue sa structure en 1000 jours. Bref, à 2 mois, 1 an, l’arrivée de ces maladies vaccinales sont à l’inverse de ce que peut vivre un corps de nourrisson.
De ces deux points de vue, une vaccination est selon le professeur Henri Joyeux, cancérologue réputé et grand diffuseur d’informations médicales, un « cataclysme immunitaire ».
- Nous allons aborder une autre question essentielle : un enfant est un être sensible, je suis convaincu qu’un petit enfant perçoit des choses que ne perçoit pas un adulte, cela fait partie de mes expériences de parent et d’adulte. Je me permet une image, un chien ou un chat a des domaines de perception bien différents de l’être humain, les compagnons des animaux ont pu l’observer. Il y a un parallèle, les tous petits enfants perçoivent des réalités bien au-delà des adultes.
Le nourrisson recevant l’inoculation de 6 maladies va être terriblement effrayé par la perception de ce qui se passe dans son corps. Il va vivre cela et percevoir le désordre créé par cet acte dans son système immunitaire en formation et immature. Le résultat en est une très grande frayeur !
La gravité de la situation est qu’il va percevoir qu’il est mis en danger par ceux qui sont censés le protéger ! Dès lors une perception s’installe : le monde extérieur est dangereux…
Mais quel est le vrai moteur intérieur des parents pour choisir d’imposer à leur enfant la vaccination ?
L’acceptation de la vaccination traduit une famille oscillant entre la peur et le raisonnement. La peur commandant en réalité les raisonnements (même si les gens s’imaginent que leur intellect domine leur émotionnel !)
La frayeur de la famille est perçue par l’enfant. Il est nourrisson, il est sans acceptation consciente de cet acte bouleversant son corps et assimile la frayeur de la famille, cela imprègne son émotionnel et sa perception du monde durablement.
Donc le nourrisson va vivre une grande frayeur et percevoir la véritable dimension qui pousse ses parents à agir de cette façon : leur frayeur. Cette action va être profonde et durable chez cet être car ce que perçoit la sensibilité d’un nourrisson est profond et durable.
Que va faire un enfant qui perçoit que le monde est un danger et que ceux qui doivent le protéger le mettent en danger ? Ils vont se couper du monde, dans une bulle d’isolement. Cela prend la forme de l’autisme.
- Je vous remercie de ne pas simplifier mes propos et cette présentation, je conçois vraiment qu’en cas de RÉELLE épidémie, et si un vaccin a prouvé qu’il était efficace et pas plus dangereux que l’épidémie présente : je suis favorable à la vaccination des enfants et adultes qui peuvent la supporter (ce qui exclut la vaccination systématique).
Pierre Marie
Le 29 mars 2016